La biennale d'art contemporain s'ouvre le 14 septembre et s'installe dans la Métropole de Lyon jusqu'à la fin de l'année. La 16e édition est placée sous le thème de la fragilité et de la résistance. Un événement soutenu par la Métropole de Lyon.
Face à la pandémie, au changement climatique, aux inégalités sociales et économiques, en observant notre condition humaine… Comment ne pas se sentir vulnérable ? Pour répondre à cette question, la 16e biennale d’art contemporain présente des œuvres et des objets créés spécialement par des artistes invités ou prêtés par les plus grands musées du monde : Metropolitan Museum of Art de New York, Louvre Abu Dhabi, musées de Dresde… Les institutions culturelles locales contribuent, elles-aussi, à façonner ce “Manifeste de la fragilité”.
La biennale d’art contemporain est construite autour de 3 expositions :
Les nombreuses vies et morts de Louise Brunet, au macLYON. Cette exposition raconte de manière romancée le destin extraordinaire de Louise Brunet, une lyonnaise jetée en prison après avoir participé à la révolte des canuts en 1834. Une fois sortie, elle a parcouru un grand voyage qui l’a menée de Lyon jusqu’aux manufactures de soie du Liban.
Beyrouth et les Golden Sixties, au macLYON. Ici, les commissaires de la biennale d’art contemporain reviennent sur la rencontre de l’art et des idéologies politiques au Liban, à une époque où Beyrouth était considérée comme un lieu influent et attractif, c’est-à-dire depuis la crise libanaise de 1958 jusqu’au déclenchement de la guerre civile au Liban en 1975.
Un monde d’une promesse infinie. Ce dernier volet de la biennale incarne les différents visages de la fragilité.
Vous pouvez aussi découvrir des œuvres librement au parc de la Tête d’Or et au pavillon du parc, à la gare de la Part-Dieu, au parking LPA République, au musée de Fourvière et à URDLA à Villeurbanne.